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dimanche 28 août 2011
samedi 13 août 2011
L'ortie dioïque
L’ortie commune (urtica dioica), encore appelée grande ortie, est sans doute une des plantes les plus connues du public et parmi celles que l’on trouve le plus communément. Les jardiniers la redoutent, mais ses vertus (souvent inconnues) en font une plante d’intérêt majeur.
Les grecs avaient repéré ses vertus et l’Inde ancienne l’utilisait en médecine ayurvédique. Ses indications thérapeutiques et son utilisation alimentaire étaient fréquentes en Europe jusqu’à la Renaissance. Seuls les pays scandinaves et la Russie ont continué à la cultiver et à l’utiliser. Elle fait aujourd’hui un retour en force assez remarquable, d’autant que chacun peut la cueillir au cours d’une balade en campagne.
Propriétés médicinales de l’ortie
C’est une plante connue pour ses effets diurétiques et drainants, notamment sur le foie et les reins. Elle accompagne aussi la lutte contre les douleurs articulaires, les lumbagos, sciatiques et les crises de goutte. On lui prête quelques effets sur les calculs urinaires.
Ses vertus anti-infectieuses sont régulièrement citées, notamment dans le traitement des infections de la bouche ou de la gorge, grâce à des bains de bouche et des gargarismes. En lotion externe, l’ortie est un bon complément pour lutter contre l’acné et l’eczéma.
Enfin les jeunes mamans pourront la consommer pour favoriser la production de lait.
L’ortie en cosmétique: shampooings et lotions
L’ortie est également utilisée en cosmétique, notamment en soins capillaires. En réduisant la sécrétion de sébum, elle aide à lutter contre les pellicules. Vous pouvez l’appliquer en lotion finale après rinçage (que vous préparez comme une tisane). Elle donnera douceur et souplesse à votre chevelure/
Diététique et cuisine: complément alimentaire et aliment à part entière
L’ortie est riche en vitamine C, A et du groupe B. Elle a aussi des propriétés reminéralisantes grâce à sa teneur élevée en fer, calcium, magnésium, potassium et phosphore. C’est donc un bon stimulant naturel lors des changements de saison et des coups de fatigue.
On la boit en infusion ou on la consomme en complément alimentaire, voire comme un légume. Elle agrémente potages et soupes, elle peut aussi se substituer aux épinards, se mélanger à une purée de pomme de terre, s’utiliser en court-bouillon, ou servir d’ingrédient de base pour quiches, cakes salés et autres tartes salées.
Comment l’utiliser
- En tisanes ou décoctions: sous forme de cure, dans toutes les pathologies décrites ci-dessus.
- En cataplasmes : en mélange avec de l’argile verte pour donner de la texture, en laissant agir 30 minutes environ.
- En bains de bouche et gargarismes : à base d’infusion d’ortie, seule ou en mélange avec d’autres plantes ou huiles essentielles.
- En lotion, après macération dans des huiles végétales, pour les problèmes de peau ou de cuir chevelu, ou en eau de rinçage pour les cheveux.
Le purin d’ortie est utilisé pour lutter contre les insectes et les parasites, et comme fertilisant naturel. On conseille également de la planter à côté des plantes médicinales et aromatiques, dont elle augmente la teneur en principes actifs.
RECETTE DU MACERAT D'ORTIE :
Dans un bocal en verre stérilisé 15 mn dans l'eau bouillante, verser 50 gr d'ortie dioïque et recouvrer d'huile végétale (tournesol, olive, amande douce ...). Fermer hermétiquement le bocal et laisser macérer 4 à 5 semaines au soleil. Agiter de temps en temps le bocal. Après ce temps de pause, filtrez votre macérât et ajouter quelques gouttes de vitamine E.
RECETTE DE LOTION A L'ORTIE CONTRE LA CHUTE DE CHEVEUX :
Faites frémir pendant 20 minutes 250 ml d'eau avec 50 g de feuilles d'ortie. Enlever du feu et laissez infuser 12 heures. Filtrez à l'aide d'un linge fin, puis ajoutez 100 ml de vinaigre de cidre et 1 gr de vitamine pro B5. Utilisez cette lotion en friction sur votre cuir chevelu.
jeudi 26 mai 2011
RECETTE DU SIROP DE THYM
Stérilisez 15 mn à l'eau bouillante un bocal en verre avec son couvercle, puis laissez le sécher entièrement sur un torchon propre.
Alternez des couches de thym frais et de sucre de canne dans le bocal en verre ; remplissez jusqu'à la moitié du bocal.
Laissez macérer 3 ou 4 jours au soleil.
Puis remplissez le bocal avec de l'eau de source ou minérale et faites cuire en bain marie pendant 60 minutes.
Filtrez et verser dans une bouteille destinée à recevoir le sirop de thym.
Utilisation : 4 ou 5 cuillèrées à soupe par jour de ce sirop vous aideront à calmer la toux et à vous protéger des infections.
Le thym contient des propriétés antiseptiques et toniques et il est concentré en thymol. Le thym commun et le thym serpolet sont les plus cultivés. On en trouve sous différentes formes : en infusion, en décoction ou en huile essentielle.
En bain de bouche, c'est un antiseptique idéal contre les aphtes et les inflammations.
En décoction externe et en cataplasme, le thym apaise les douleurs musculaires et soulage l'arthrose et les rhumatismes.
L'huile essentielle de thym utilisé dans un shampooing, assainit et tonifie le cuir chevelu.
Source : magazine Santé Naturelle
Les ingrédients :
110 ml de base neutre lavante et moussante
15 ml d'huile végétale d'avocat
20 gouttes d'huile essentielle de thym à thymol
Mélanger tous les ingrédients ensemble directement dans un flacon d'une contenance 125 ml.
vendredi 25 mars 2011
vendredi 8 mai 2009
LA CITRONNELLE
Synonymes : Aurore, Herbe à citron, Verveine des Indes, jonc odorant (en parfumerie)
Nom latin : Cymbopogon citratus L. ou cymbopogon winterianus
Famille : Poacées (Graminacées)
Principaux composants : citral, citronnellal, geraniol
Le citral contenu dans l’huile essentielle de Citronnelle possède un effet calmant, antalgique, antibactérien et fongicide.
La médecine populaire chinoise utilise la Citronnelle pour soigner l’instabilité nerveuse et les états fiévreux.
Utilisée traditionnellement dans la cuisine asiatique ou en infusion, la Citronnelle est apéritive et soulage les troubles stomaco-intestinaux.
Les Indiens emploient la Citronnelle plutôt comme parfum que plante médicinale.
Appliquée sur la peau diluée dans une huile végétale ou du gel d’aloe vera, sa senteur citronnée éloigne les insectes.
Eviter l'application pure d'HE de citronnelle sur la peau, risque d'irritation. Déconseillée durant les trois premiers mois de grossesse.
L’exotisme de la cuisine Thai est au rendez-vous quand on évoque la Citronnelle.
Plante pluriannuelle de la famille des Graminacées et originaire des Tropiques, ses feuilles au retombé élégant, peuvent atteindre 150 cm de long.
Sa croissance buissonnante fait apparaître des feuilles coupantes dont s’exhale une senteur citronnée au frotter.
Lorsqu’on parle d’herbe, telle qu’elle pousse dans les prairies par exemple, c’est généralement aux Graminées que l’on pense. Cela vaut la peine d’observer leurs caractéristiques. C’est une famille dont font partie la Citronnelle et autres plantes utiles comme le Seigle, le Blé, l’Orge, l’Avoine, le Millet, le Maïs, le Riz, le Bambou et la Canne à sucre.
Les fleurs peuvent avoir une disposition très variée : en épis, comme le Blé, en panicules comme pour l’Avoine ou en grappes.
Au Moyen-Age, la Citronnelle parvint en Europe par les caravanes provenant d’Asie tropicale. On l’utilisait pour fabriquer de la bière ou du vin aromatisé.
Sa vraie popularité ne commença que dans les années 80 en tant qu’huile de lampe à parfum et ingrédient de la cuisine asiatique.
Nom latin : Cymbopogon citratus L. ou cymbopogon winterianus
Famille : Poacées (Graminacées)
Principaux composants : citral, citronnellal, geraniol
Le citral contenu dans l’huile essentielle de Citronnelle possède un effet calmant, antalgique, antibactérien et fongicide.
La médecine populaire chinoise utilise la Citronnelle pour soigner l’instabilité nerveuse et les états fiévreux.
Utilisée traditionnellement dans la cuisine asiatique ou en infusion, la Citronnelle est apéritive et soulage les troubles stomaco-intestinaux.
Les Indiens emploient la Citronnelle plutôt comme parfum que plante médicinale.
Appliquée sur la peau diluée dans une huile végétale ou du gel d’aloe vera, sa senteur citronnée éloigne les insectes.
Eviter l'application pure d'HE de citronnelle sur la peau, risque d'irritation. Déconseillée durant les trois premiers mois de grossesse.
L’exotisme de la cuisine Thai est au rendez-vous quand on évoque la Citronnelle.
Plante pluriannuelle de la famille des Graminacées et originaire des Tropiques, ses feuilles au retombé élégant, peuvent atteindre 150 cm de long.
Sa croissance buissonnante fait apparaître des feuilles coupantes dont s’exhale une senteur citronnée au frotter.
Lorsqu’on parle d’herbe, telle qu’elle pousse dans les prairies par exemple, c’est généralement aux Graminées que l’on pense. Cela vaut la peine d’observer leurs caractéristiques. C’est une famille dont font partie la Citronnelle et autres plantes utiles comme le Seigle, le Blé, l’Orge, l’Avoine, le Millet, le Maïs, le Riz, le Bambou et la Canne à sucre.
Les fleurs peuvent avoir une disposition très variée : en épis, comme le Blé, en panicules comme pour l’Avoine ou en grappes.
Au Moyen-Age, la Citronnelle parvint en Europe par les caravanes provenant d’Asie tropicale. On l’utilisait pour fabriquer de la bière ou du vin aromatisé.
Sa vraie popularité ne commença que dans les années 80 en tant qu’huile de lampe à parfum et ingrédient de la cuisine asiatique.
De nos jours on utilise fréquemment la citronnelle pour aromatiser les plats, les cocktails, le thé ou pour la fabrication de bougies.
LE SAVIEZ VOUS ?
Pour faire pousser de la citronnelle, il suffit de vous procurer une tige fraîche dans un magasin de produits asiatiques et de la mettre dans l’eau pour qu’elle forme des racines.
La planter ensuite en terre ou en pot, la citronnelle ne tarde pas à grandir et à développer son parfum.
RECETTES :
Huile de soin minceur pamplemousse citronnelle :
Une préparation ciblant la cellulite et toutes les zones que vous voulez voir mincir.
Les ingrédients pour 100 ml :
Huile de sésame : 30 ml
Macérât de centella asiatica : 20 ml
Huile végétale de jojoba : 20 ml
Squalane végétal : 25 ml
Huile essentielle de citronnelle : 25 gouttes
Huile essentielle de pamplemousse : 20 gouttes
Huile essentielle de christe marine : 15 gouttes
Vitamine E : 8 gouttes
Mélanger ensembre tous les ingrédients.
Macérât citron citronnelle :
Stériliser à l’eau bouillante un bocal et laisser le sécher, il ne doit pas y avoir d’eau dans votre préparation.
Placer y des feuilles fraîches (ou séchées) * de citronnelle que vous aurez auparavant coupées en petits tronçons (vous pouvez vous en procurer dans les magasins d’alimentation asiatique).
Laver et sécher un citron bio, éplucher le zeste et couper 4 rondelles fines que vous placerez dans votre bocal par dessus la citronnelle.
Verser maintenant de l’huile d’olive, de l’huile de noisette et de l’huile de germe de blé (1/3 de chaque).
Laisser reposer 15 jours en remuant en douceur matin et soir pour que toute la force de la citronnelle et du citron passe dans l’huile.
Exposer votre bocal au soleil plusieurs heures par jour.
Après cette étape de macération, filtrer votre huile et ajouter de la vitamine E pour la conservation.
Vous pourrez ensuite vous préparer des soins amincissant et tonifiant.
* les feuilles de citronnelle séchées ont moins d’arôme mais vous aurez plus de chance de réussir votre macérât
Acheter de l'huile essentielle de citronnelle bio http://www.atelier-cosmetic-bio.com/citronnelle-madag-xml-206_350-1162.html
mercredi 18 mars 2009
Enfin l'interdiction de l'expérimentation animale pour les cosmétiques
Source : http://www.univers-nature.com/ Elisabeth Leciak
Le délai accordé à l’industrie cosmétique par l’Union Européenne est arrivé à échéance ce mercredi. Les tests de routine sur les animaux (1) ne devraient plus avoir cours, alternative ou pas. Leader de l’industrie " beauté ", couvrant plus de la moitié du marché mondial, l’Union Européenne a beaucoup fait traîner avant d’arriver à cette interdiction.
Depuis 1976, l’UE est dotée d’une Directive Cosmétique assurant plus de sécurité dans la production. Ce texte fut amendé en 1993 pour abandonner progressivement les tests sur les animaux, mais ne fut pas appliqué faute d’alternative.
Un nouvel amendement, en 2003, visait à renforcer la Directive et à interdire, cette fois strictement, l’utilisation de l’animal pour les produits finis. Cette version 2003 imposait également une date limite à laquelle aucun des ingrédients contenus dans les produits de beauté ne pourrait plus être testé sur des êtres vivants, que des alternatives aient été développées ou non. Voilà ce qui fût entériné, le 11 mars 2009.
Désormais, les sept contrôles obligatoires avant la mise sur le marché des produits ne seront plus réalisés sur les animaux. Finis donc les tests d’irritation de la peau ou des yeux ou de toxicité aiguë sur les souris, lapins et autres cobayes pour ces produits de luxe, finie également l’importation d’ingrédients qui auraient été testés sur les animaux hors de la juridiction de l’EU.
Mais la procédure n’est pas terminée, et une seconde interdiction attend son heure.
En 2013 seront également bannis les tests de toxicité à long terme, par exemple les expositions à doses répétées afin d’évaluer les risques de cancer ou sur la reproduction humaine.
Néanmoins, devant la pression des entreprises, cette date pourra, d’ici là, toujours être renégociée. C’est bien souvent l’argument d’une absence d’alternative qui est mis en avant pour freiner les démarches.
Pourtant, les Etats Européens participent activement au développement de nouvelles techniques de substitution.
D’après la revue Nature, ils investissent chaque année près de 25 millions d’euros dans les recherches, exactement la même somme que l’industrie elle-même.
1- L’Union Européenne annonce officiellement qu’en 2005, 5 571 animaux ont été utilisés, dont la majorité en France. Mais ce chiffre ne représente très certainement pas la totalité, de nombreuses substances testées entrant effectivement dans la composition des cosmétiques en amont.
Le délai accordé à l’industrie cosmétique par l’Union Européenne est arrivé à échéance ce mercredi. Les tests de routine sur les animaux (1) ne devraient plus avoir cours, alternative ou pas. Leader de l’industrie " beauté ", couvrant plus de la moitié du marché mondial, l’Union Européenne a beaucoup fait traîner avant d’arriver à cette interdiction.
Depuis 1976, l’UE est dotée d’une Directive Cosmétique assurant plus de sécurité dans la production. Ce texte fut amendé en 1993 pour abandonner progressivement les tests sur les animaux, mais ne fut pas appliqué faute d’alternative.
Un nouvel amendement, en 2003, visait à renforcer la Directive et à interdire, cette fois strictement, l’utilisation de l’animal pour les produits finis. Cette version 2003 imposait également une date limite à laquelle aucun des ingrédients contenus dans les produits de beauté ne pourrait plus être testé sur des êtres vivants, que des alternatives aient été développées ou non. Voilà ce qui fût entériné, le 11 mars 2009.
Désormais, les sept contrôles obligatoires avant la mise sur le marché des produits ne seront plus réalisés sur les animaux. Finis donc les tests d’irritation de la peau ou des yeux ou de toxicité aiguë sur les souris, lapins et autres cobayes pour ces produits de luxe, finie également l’importation d’ingrédients qui auraient été testés sur les animaux hors de la juridiction de l’EU.
Mais la procédure n’est pas terminée, et une seconde interdiction attend son heure.
En 2013 seront également bannis les tests de toxicité à long terme, par exemple les expositions à doses répétées afin d’évaluer les risques de cancer ou sur la reproduction humaine.
Néanmoins, devant la pression des entreprises, cette date pourra, d’ici là, toujours être renégociée. C’est bien souvent l’argument d’une absence d’alternative qui est mis en avant pour freiner les démarches.
Pourtant, les Etats Européens participent activement au développement de nouvelles techniques de substitution.
D’après la revue Nature, ils investissent chaque année près de 25 millions d’euros dans les recherches, exactement la même somme que l’industrie elle-même.
1- L’Union Européenne annonce officiellement qu’en 2005, 5 571 animaux ont été utilisés, dont la majorité en France. Mais ce chiffre ne représente très certainement pas la totalité, de nombreuses substances testées entrant effectivement dans la composition des cosmétiques en amont.
vendredi 11 avril 2008
LE BLOG VERT DE SOPHIE
Des astuces, des échanges d'information pour les gestes à faire au quotidien pour préserver l'environnement.
Sophie vous fait partager son expérience de jeune maman concernant la contraception naturelle, les couches lavables, et plein d'autres sujets "verts".
J'y ai appris que les noix de lavage étaient la cause de déforestations en Inde et au Népal, et je vais me pencher sur la question car j'en utilise depuis pas mal de temps ... être toujours en éveil c'est important !
C'est par là http://leblogvertdesophie.over-blog.com/
Lisez aussi son interview par "ELLE" http://www.elle.fr/elle/societe/les-enquetes/a-la-rencontre-d-eco-citoyens/(gid)/568011/(article)/568032
Sophie vous fait partager son expérience de jeune maman concernant la contraception naturelle, les couches lavables, et plein d'autres sujets "verts".
J'y ai appris que les noix de lavage étaient la cause de déforestations en Inde et au Népal, et je vais me pencher sur la question car j'en utilise depuis pas mal de temps ... être toujours en éveil c'est important !
C'est par là http://leblogvertdesophie.over-blog.com/
Lisez aussi son interview par "ELLE" http://www.elle.fr/elle/societe/les-enquetes/a-la-rencontre-d-eco-citoyens/(gid)/568011/(article)/568032
jeudi 31 janvier 2008
POUPINUT'S : des gigoteuses de qualité ...
Vous avez un blog ou un site traitant d'écologie, d'environnement, de cosmétiques faits maison, de recettes de cuisine aux huiles végétales ou essentielles ... faisons un échange réciproque de lien pour un référencement naturel : écrivez à cette adresse ateliercosmeticbio@gmail.com, ou bien laissez vos coordonnées en commentaire.
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Vous cherchez des gigoteuses haut de gamme, originales et bien conçues, résistantes, où Bébé pourra bouger en liberté sans risque, c'est ici : http://www.gigoteuse.com/
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dimanche 27 janvier 2008
L'HISTOIRE DE L'AROMATHERAPIE...
Utilisées à diverses fins depuis des millénaires, les plantes aromatiques ont toujours été tenues en haute estime par les thérapeutes du monde entier. Nous sommes en train de les redécouvrir.
Leur histoire se trouve associée, sur tous les continents, à l'évolution des civilisations.
C'est une véritable gageure que de vouloir établir l'historique des plantes et des arômes dans leur utilisation en médecine. En effet, c'est l'étude de toutes les civilisations passées qu'il faut reconsidérer, car l'Homme a toujours privilégié la plante non seulement à des fins domestiques et alimentaires mais aussi dans un but thérapeutique évident.
La médecine aromatique prit sa source à l'ombre des temples sacrés d'Egypte, berceau, il y a plus de 6000 ans, de la médecine, de la parfumerie et de la pharmacopée occidentale. De précieuses huiles essentielles y affluaient, originaires de toutes les grandes cultures, par caravanes ou par bateaux : cèdre du Liban, roses de Syrie, cannelle de Babylone, d'Ethiopie, de Somalie, de Perse et d'Inde. C'est l'embaumement (momies) qui constituait l'utilisation la plus remarquable des HE. Les corps se trouvaient vidés de leurs organes auxquels on substituait des parfums, des résines et autres préparations aromatiques. Le pouvoir des huiles essentielles est tel que les tissus imprégnés se sont conservés durant des milliers d'années.
Le "vinaigre des 4 voleurs ":
Au XVIIème siècle, alors que sévissait une grande épidémie de peste dans la région de Toulouse, 4 voleurs conçurent un vinaigre aromatique et s'en enduisirent pour détrousser les cadavres en toute immunité.
Leur mépris de la contagion avait fortement étonné les juges ... On peut lire dans les archives du Parlement de Toulouse que : "Quatre voleurs furent convaincus, lors de l'épidémie, qu'ils allaient chez les pestiférés, les étranglaient dans leur lit et leur prenaient tous leurs biens précieux. Ils furent condamnés à être pendus mais en évitant la torture du fait qu'ils avaient révélé leur formule". Ce vinaigre contenait en majorité un fort vinaigre de vin blanc dans lequel ils avaient fait macérer plus d'une dizaine de plantes pendant 10 jours. On recensait de l'absinthe, le romarin, la sauge, la menthe poivrée, la lavande aspic, la cannelle de Ceylan, 5O clous de girofle, l'ail, le camphre, toutes ces plantes ont un fort pouvoir anti-bactérien. Par ailleurs, le vinaigre présente un pH très acide et l'on sait selon le bio-électromètre de Vincent, qu'un milieu acide n'est pas favorable au développement des infections.
Cette composition est restée inscrite au Codex pharmaceutique jusqu'au début du XXème siècle. Il trouve encore son utilité dans la prévention des maladies contagieuses.
Sources : Faculté Libre de Médecines Naturelles et d'Ethnomédecine (Fondée en 1986 à la Sorbonne) Aromathérapie - Les huiles essentielles à travers le temps et les civilisations.
CLIC sur ce lien pour connaître l'histoire de l'aromathérapie à travers les siècles http://www.amabilia.com/contenu/aroma/histoire.html
Leur histoire se trouve associée, sur tous les continents, à l'évolution des civilisations.
C'est une véritable gageure que de vouloir établir l'historique des plantes et des arômes dans leur utilisation en médecine. En effet, c'est l'étude de toutes les civilisations passées qu'il faut reconsidérer, car l'Homme a toujours privilégié la plante non seulement à des fins domestiques et alimentaires mais aussi dans un but thérapeutique évident.
La médecine aromatique prit sa source à l'ombre des temples sacrés d'Egypte, berceau, il y a plus de 6000 ans, de la médecine, de la parfumerie et de la pharmacopée occidentale. De précieuses huiles essentielles y affluaient, originaires de toutes les grandes cultures, par caravanes ou par bateaux : cèdre du Liban, roses de Syrie, cannelle de Babylone, d'Ethiopie, de Somalie, de Perse et d'Inde. C'est l'embaumement (momies) qui constituait l'utilisation la plus remarquable des HE. Les corps se trouvaient vidés de leurs organes auxquels on substituait des parfums, des résines et autres préparations aromatiques. Le pouvoir des huiles essentielles est tel que les tissus imprégnés se sont conservés durant des milliers d'années.
Le "vinaigre des 4 voleurs ":
Au XVIIème siècle, alors que sévissait une grande épidémie de peste dans la région de Toulouse, 4 voleurs conçurent un vinaigre aromatique et s'en enduisirent pour détrousser les cadavres en toute immunité.
Leur mépris de la contagion avait fortement étonné les juges ... On peut lire dans les archives du Parlement de Toulouse que : "Quatre voleurs furent convaincus, lors de l'épidémie, qu'ils allaient chez les pestiférés, les étranglaient dans leur lit et leur prenaient tous leurs biens précieux. Ils furent condamnés à être pendus mais en évitant la torture du fait qu'ils avaient révélé leur formule". Ce vinaigre contenait en majorité un fort vinaigre de vin blanc dans lequel ils avaient fait macérer plus d'une dizaine de plantes pendant 10 jours. On recensait de l'absinthe, le romarin, la sauge, la menthe poivrée, la lavande aspic, la cannelle de Ceylan, 5O clous de girofle, l'ail, le camphre, toutes ces plantes ont un fort pouvoir anti-bactérien. Par ailleurs, le vinaigre présente un pH très acide et l'on sait selon le bio-électromètre de Vincent, qu'un milieu acide n'est pas favorable au développement des infections.
Cette composition est restée inscrite au Codex pharmaceutique jusqu'au début du XXème siècle. Il trouve encore son utilité dans la prévention des maladies contagieuses.
Sources : Faculté Libre de Médecines Naturelles et d'Ethnomédecine (Fondée en 1986 à la Sorbonne) Aromathérapie - Les huiles essentielles à travers le temps et les civilisations.
CLIC sur ce lien pour connaître l'histoire de l'aromathérapie à travers les siècles http://www.amabilia.com/contenu/aroma/histoire.html
jeudi 24 janvier 2008
POURQUOI ACHETER DES COSMETIQUES BIO ?
En quoi un produit cosmétique bio est-il différent ?
La cosmétique bio utilise des matières premières d'origines naturelles et issues de l'agriculture biologique.
Le principe de précaution est appliqué, on exclue de la composition certains ingrédients d'origine chimique.
La différence intervient également dans les procédés de fabrication des produits, prenant en compte le respect de l'environnement et de l'équilibre naturel, des éléments, des sols, de l'eau et de l'air.
Ces produits ne sont pas testés sur les animaux.
Les cosmétiques bio sont-ils meilleurs pour la santé ?
OUI ! C’est certain et aussi pour la santé de la planète. Les cosmétiques bio sont biodégradables. Ce qui est un gage de qualité pour l’environnement et pour nous.
Comment reconnaître un produit cosmétique bio ?
A moins d’avoir une confiance absolue dans votre fournisseur ou de fabriquer vous-mêmes vos produits, les labels sont la seule garantie sur laquelle le consommateur soucieux d'acheter bio peut s'appuyer.
Les cosmétiques « classiques » peuvent-ils être dangereux pour la santé humaine ?
OUI ! Hélas. Les articles de presse, les livres, ne manquent pas pour le dire.
Même si vous achetez du haut de gamme. Les principales inquiétudes viennent des substances capables de traverser la barrière cutanée. On sait aujourd’hui que certaines molécules synthétiques peuvent s’accumuler dans le corps humain. Si la toxicité n’est pas toujours prouvée (pas encore mais on y vient doucement) de plus en plus d’études démontrent que nous appliquons sur notre peau tous les jours des substances potentiellement toxiques pour notre santé.
Comment savoir si mes cosmétiques sont toxiques ?
Pas si évident. La liste des ingrédients est toujours écrite en tout petit, et si l'on n'a pas une vue excellente, les étiquettes sont très difficiles à déchiffrer. Soyez prudents et informez-vous.
Voici une liste non exhaustive des ingrédients suspects : phénoxyéthanol, sels d’aluminium (dans les déodorants), BHA, BHT, EDTA, DMDM, filtres chimiques UV, huiles minérales issues de la pétrochimie (paraffinium liquidum), parabens, propylparaben, butylparaben, PEG et PPG (Sodium Laureth Sulfate), le formaldéhyde (conservateur), le triclosan (anti-bactérien) les benzophénones, les salicylates, les amines aromatiques comme teintures pour cheveux, les siloxanes …
Les crèmes de jour bio sont-elles aussi efficaces que les autres ?
Hydrater, nourrir, protéger, entretenir l’élasticité, voilà ce qu’on demande à une bonne crème de soin. Les huiles essentielles, huiles ou cires végétales utilisées en cosmétique bio (à l’inverse d’ingrédients synthétiques) sont très riches en principes actifs. Elles contiennent des acides gras essentiels, des vitamines, des substances minérales bénéfiques. La vitamine E très utilisée en cosmétique bio et est anti oxydante, elle prévient le vieillissement cutané. La vitamine C renforce les défenses naturelles de l’épiderme. Les cosmétiques bio sont soumis à la même réglementation que les cosmétiques traditionnels. Avant d’être lancés sur le marché, ils passent une série de tests (stabilité et propreté microbienne, tolérance cutanée…). Attention, comme toujours, alimentation, hygiène de vie, sommeil sont déterminants pour la beauté de votre peau et la luminosité de votre teint.
Les c
rèmes minceur bio font-elles mincir ?
On trouve dans les produits bio des agents actifs intéressants et reconnus pour leurs propriétés raffermissantes via l’activation de la circulation sanguine et/ou le drainage de la peau. L’extrait de thé vert, la caféine ou le poivre noir par exemple. Les huiles essentielles de cèdre, de citron, de géranium, de christe marine … ont des propriétés amincissantes, dépuratives ou raffermissantes. Si on les utilise en synergie et mélangées aux bonnes huiles végétales, elles agissent réellement.
Mais soyons vrais et justes. Pour être réellement efficace une crème minceur doit s’accompagner d’un réel équilibre alimentaire et d’une activité physique.
Pourquoi les cosmétiques bio ne moussent-ils pas ?
C’est vrai mais normal. L’emploi des tensioactifs qui font mousser les produits est très limité dans la cosmétologie bio. Mais ce n’est pas la mousse ou les bulles qui lavent. Pour remplacer les ingrédients de synthèses, la cosmétique bio utilise souvent un mélange de tensioactifs doux d’origine végétale comme le sodium cocoyl glutamate ou le coco glucocide, l’huile de coco ou de babassu. La fabrication de ces produits est onéreuse et donc les savons, gels douche ou schampoings bio sont un peu plus chers.
Pourquoi les textures et les odeurs sont-elles différentes ?
En effet, les gammes d’émulsifiants naturels sont plus limitées. Mais de plus en plus les laboratoires bio s’améliorent pour apporter des textures souples et agréables proches des cosmétiques traditionnels des plus grandes marques. Dans tous les cas les crèmes bio nourrissent parfaitement la peau et laissent une impression de confort pour toute la journée. Pour les odeurs, nous sommes habitués aux parfums de synthèse et retrouver les fragrances parfois brutes des huiles essentielles peut parfois surprendre. Fiez vous à vos sens. Laissez votre odorat agir. La nature (le naturel) reprend vite le dessus.
Pourquoi utiliser une huile végétale ?
Enrichies ou non en huiles essentielles, les huiles de soins utilisées par les fabricants de cosmétiques bio n’apportent pas d’eau à la peau. Mais elles la nourrissent et forment une pellicule protectrice qui empêche l’eau de la peau de s’évaporer. Leur utilisation régulière, notamment en soins de nuit, permet de compléter l’action des crèmes. Les nombreuses huiles végétales naturelles ont des vertus diverses et complémentaires. L’huile d’onagre apaise les peaux fragilisées, l’huile de rosier muscat régénère, prévient les rides, l’huile d’amande adoucit la peau, l’huile de carotte riche en pro vitamines A donne bonne mine.
A découvrir sur ce blog, dans le chapitre « HUILES VEGETALES ».
La cosmétique bio utilise des matières premières d'origines naturelles et issues de l'agriculture biologique.
Le principe de précaution est appliqué, on exclue de la composition certains ingrédients d'origine chimique.
La différence intervient également dans les procédés de fabrication des produits, prenant en compte le respect de l'environnement et de l'équilibre naturel, des éléments, des sols, de l'eau et de l'air.
Ces produits ne sont pas testés sur les animaux.
Les cosmétiques bio sont-ils meilleurs pour la santé ?
OUI ! C’est certain et aussi pour la santé de la planète. Les cosmétiques bio sont biodégradables. Ce qui est un gage de qualité pour l’environnement et pour nous.
Comment reconnaître un produit cosmétique bio ?
A moins d’avoir une confiance absolue dans votre fournisseur ou de fabriquer vous-mêmes vos produits, les labels sont la seule garantie sur laquelle le consommateur soucieux d'acheter bio peut s'appuyer.
Les cosmétiques « classiques » peuvent-ils être dangereux pour la santé humaine ?
OUI ! Hélas. Les articles de presse, les livres, ne manquent pas pour le dire.
Même si vous achetez du haut de gamme. Les principales inquiétudes viennent des substances capables de traverser la barrière cutanée. On sait aujourd’hui que certaines molécules synthétiques peuvent s’accumuler dans le corps humain. Si la toxicité n’est pas toujours prouvée (pas encore mais on y vient doucement) de plus en plus d’études démontrent que nous appliquons sur notre peau tous les jours des substances potentiellement toxiques pour notre santé.
Comment savoir si mes cosmétiques sont toxiques ?
Pas si évident. La liste des ingrédients est toujours écrite en tout petit, et si l'on n'a pas une vue excellente, les étiquettes sont très difficiles à déchiffrer. Soyez prudents et informez-vous.
Voici une liste non exhaustive des ingrédients suspects : phénoxyéthanol, sels d’aluminium (dans les déodorants), BHA, BHT, EDTA, DMDM, filtres chimiques UV, huiles minérales issues de la pétrochimie (paraffinium liquidum), parabens, propylparaben, butylparaben, PEG et PPG (Sodium Laureth Sulfate), le formaldéhyde (conservateur), le triclosan (anti-bactérien) les benzophénones, les salicylates, les amines aromatiques comme teintures pour cheveux, les siloxanes …
Les crèmes de jour bio sont-elles aussi efficaces que les autres ?
Hydrater, nourrir, protéger, entretenir l’élasticité, voilà ce qu’on demande à une bonne crème de soin. Les huiles essentielles, huiles ou cires végétales utilisées en cosmétique bio (à l’inverse d’ingrédients synthétiques) sont très riches en principes actifs. Elles contiennent des acides gras essentiels, des vitamines, des substances minérales bénéfiques. La vitamine E très utilisée en cosmétique bio et est anti oxydante, elle prévient le vieillissement cutané. La vitamine C renforce les défenses naturelles de l’épiderme. Les cosmétiques bio sont soumis à la même réglementation que les cosmétiques traditionnels. Avant d’être lancés sur le marché, ils passent une série de tests (stabilité et propreté microbienne, tolérance cutanée…). Attention, comme toujours, alimentation, hygiène de vie, sommeil sont déterminants pour la beauté de votre peau et la luminosité de votre teint.
Les c
rèmes minceur bio font-elles mincir ?On trouve dans les produits bio des agents actifs intéressants et reconnus pour leurs propriétés raffermissantes via l’activation de la circulation sanguine et/ou le drainage de la peau. L’extrait de thé vert, la caféine ou le poivre noir par exemple. Les huiles essentielles de cèdre, de citron, de géranium, de christe marine … ont des propriétés amincissantes, dépuratives ou raffermissantes. Si on les utilise en synergie et mélangées aux bonnes huiles végétales, elles agissent réellement.
Mais soyons vrais et justes. Pour être réellement efficace une crème minceur doit s’accompagner d’un réel équilibre alimentaire et d’une activité physique.
Pourquoi les cosmétiques bio ne moussent-ils pas ?
C’est vrai mais normal. L’emploi des tensioactifs qui font mousser les produits est très limité dans la cosmétologie bio. Mais ce n’est pas la mousse ou les bulles qui lavent. Pour remplacer les ingrédients de synthèses, la cosmétique bio utilise souvent un mélange de tensioactifs doux d’origine végétale comme le sodium cocoyl glutamate ou le coco glucocide, l’huile de coco ou de babassu. La fabrication de ces produits est onéreuse et donc les savons, gels douche ou schampoings bio sont un peu plus chers.
Pourquoi les textures et les odeurs sont-elles différentes ?
En effet, les gammes d’émulsifiants naturels sont plus limitées. Mais de plus en plus les laboratoires bio s’améliorent pour apporter des textures souples et agréables proches des cosmétiques traditionnels des plus grandes marques. Dans tous les cas les crèmes bio nourrissent parfaitement la peau et laissent une impression de confort pour toute la journée. Pour les odeurs, nous sommes habitués aux parfums de synthèse et retrouver les fragrances parfois brutes des huiles essentielles peut parfois surprendre. Fiez vous à vos sens. Laissez votre odorat agir. La nature (le naturel) reprend vite le dessus.
Pourquoi utiliser une huile végétale ?
Enrichies ou non en huiles essentielles, les huiles de soins utilisées par les fabricants de cosmétiques bio n’apportent pas d’eau à la peau. Mais elles la nourrissent et forment une pellicule protectrice qui empêche l’eau de la peau de s’évaporer. Leur utilisation régulière, notamment en soins de nuit, permet de compléter l’action des crèmes. Les nombreuses huiles végétales naturelles ont des vertus diverses et complémentaires. L’huile d’onagre apaise les peaux fragilisées, l’huile de rosier muscat régénère, prévient les rides, l’huile d’amande adoucit la peau, l’huile de carotte riche en pro vitamines A donne bonne mine.
A découvrir sur ce blog, dans le chapitre « HUILES VEGETALES ».
dimanche 6 janvier 2008
CE QU'IL FAUT SAVOIR
Cosmétiques substances à risques (source : site pennty bio)
et aussi : http://aggie.canalblog.com/archives/2007/05/28/5106351.html
et aussi : http://aggie.canalblog.com/archives/2007/05/28/5106351.html
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